Révélations en coulisses : Les jeunes à l'honneur et les mystères de Mister PMU

Journaliste Tribune Stéphanoise : "Bonjour et bienvenue pour avec nous une nouvelle fois. Aujourd'hui, nous recevons le coach avec le sourire après la qualification en Coupe de France et cette belle victoire de 3 à 0 en coupe de France"

Journaliste Tribune Stéphanoise : "Bonjour coach, alors comment on se sent après une victoire certes contre une petite équipe mais avec la manière ?"

Coach Batlles : "Bonjour la Tribune, bien sûr, je suis ravi de ce match, surtout face à une vaillante équipe de Bourg-Péronnas qui aura il faut l'avouer mit une belle résistance face à nous". 

Journaliste Tribune Stéphanoise : "Effectivement, face à un effectif stéphanois repensé, on a vu que le club de Bourg-en-Bresse pensionnaire de N2 a tenté sa chance, d'ailleurs, qui dit effectif repensé, dit jeune titulaire, qu'avez-vous pensé de leurs performance coach " ?

Coach Batlles : "Vous le savez, moi, j'aime les jeunes (dit-il en regardant le fond de la salle), il est clair qu'ils sont l'avenir du club et ils ont montré de très bonne chose sur le terrain".

Journaliste Tribune Stéphanoise : "Faut-il s'attendre à les voir plus souvent sur le terrain même en championnat " ?

Coach Batlles : "Gloupss, euh, vous savez, mon rôle, c'est d'aligner les joueurs les plus forts pour viser la montée, ils ont été bon il est vrai, mais la L2, je ne sais pas s'ils sont vraiment prêts à ce niveau, mais à voir " (continue t'il toujours en regardant le fond de la salle).

Journaliste Tribune Stéphanoise : "Bon dernière question, on n'a aussi assisté au bon match de Maxence Rivera récompensé par un très beau but, se montre-t-il selon vous à la hauteur de vos attentes et peut-il prétendre enfin à une vraie place dans l'organigramme " ? 

Coach Batlles : "Vous me parlez de qui s'il vous plaît " ?

Journaliste Tribune Stéphanoise : "Maxence Rivera, l'ailier gauche qui a marqué le 1er but du match".

Coach Batlles : "Ahhh, Mister PMU (Finit il en se levant dans un énorme fou rire).

Quand je me retourne pour regarder le fond de la salle qui avait l'air d'obséder le coach, je vois alors le Président Roland Romeyer quitter la pièce, nous comprenons alors facilement que le coach n'était pas aussi libre de ses dires. Le mystère reste entier.